POLYNESIE

C’est donc un équipage constitué de 5 « anciens » stagiaires qui a relevé le défi Polynésie pour ce premier stage « décentralisé »… 

De gauche à droite:

Anne Marie , 3 stages sur Balidar, venue de Savoie,

Pierre, 2 stages, marin expérimenté venu de Concarneau,

Alain, 2 stages et surtout une grosse expérience du large, venu de Morlaix,

Patrick, 3 stages conjoint d’Anne Marie,

Yves, aucun stage mais marin expérimenté venu de Concarneau,

Thomas, 2 stages et qui commence à avoir des miles, venu de République Dominicaine…

 

Tout ce beau monde a envie de découvrir de nouveaux horizons, un bateau plus grand, 52 pieds… donc plus physique.

  

Ça se prépare un tel séjour, on en rêve des mois avant… et on n’a pas été déçus… Alors on apprend quoi de plus en Polynésie?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Des techniques de mouillage par 20 m d’eau, des prises de corps mort avec un vent établi. Mais aussi la prise de coffre au balai brosse quand on a perdu la gaffe.

 

Et la prise de coffre par l’arrière quand le balai brosse est trop petit… 

 

 

 

 

 

 

 

Le bateau en pêche tous les jours, 2 lignes… Mais c’est pas parce qu’on met des lignes qu’on pêche… ou du trop gros qui casse la ligne…

 

 

 

 

 

 

 

Des mouillages de rêve, et des couchers de soleil resplendissants. C’est comme en Bretagne en fait!!!

 

 

 

 

 

 

Les fêtes de Heiva durant tout le mois de juillet presque partout et tous les soirs…  

 

 

 

 

 

La navigation dans les lagons entourés de motus, de balises pour se repérer, il faut être vigilant… mais on s’y fait vite et puis on navigue à la couleur de l’eau… Bleu foncé c’est profond… bleu clair  c’est pas profond et un peu vert il y a du corail…

 

 

 

Rencontre de Polynésiens toujours  prêts et faire partager leur savoir faire là encore dans la cadre des fêtes de l'HEIVA..

 

 

On a aussi profité des talents de notre cuisinière, Anne Marie,  toujours prête à en découdre avec les repas (de qualité...)

De mémoire, sur 15 jours on a réussi à deux reprises

 

seulement à la tenir à distance des fourneaux:

Lors de la soirée "magrets de canard"  assurée par Thomas et lors de la soirée crêpes... Un grand merci pour sa disponibilité et ses compétences.

 

 

 

 

 

Un coup de coeur pour Huahine et son bar sur le port… On est descendus vers le sud de l’île pour nager en principe avec des raies mais l’eau était trouble, le courant contraire et c’était rouleur… Pas le bon plan… 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Coup de coeur aussi pour Tahaa où l’on voit Bora Bora distante de 20 miles…

 

 

 

D'ailleurs en parlant de Bora Bora qui nous a laissés perplexes, pour en revenir avec vent établi 20/25 nds et un tirant d'eau de 1,70 pour 15 m de coques voilà ce que ça donne au niveau du louvoyage...

8 heures de nav pour 23 miles... Mais on était là pour faire de la voile non?

 

 

 

 

 

Et les scientifiques du bord ont souhaité vérifier que la force ce Coriolis fait tourner l’eau dans le sens trigonométrique dans l’hémisphère sud… Exact…

 

 

 

 

 

 

 

 

Un équipage conquis, prêt à revenir et aller plus loin… Maupiti ? Rangiroa aux Tuamotu ?    

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Commentaires: 4
  • #1

    AURY pascal (lundi, 15 juillet 2019 01:07)

    Bonjour à tous
    Belle expérience visiblement, avec son lot de surprises.
    Je fais confiance à notre capitaine JC, pour nous concocter dans les mois à venir, des sorties extraordinaires.
    Dépaysement en vue donc.... à suivre.
    Bon vent à tous, et portez-vous bien.
    J’espère Te croiser au Marin autour du 20.10 19.
    Très cordialement
    Pascal

  • #2

    P. (lundi, 15 juillet 2019 02:36)

    Sur la dernière photo, le coq, fil rouge des îles polynésiennes : chaque jour, alors que la nuit était encore d'encre, il nous a signifié qu'il était autour de 4 heures et demie. Visiblement jaloux, cet animal ! Il passe sa journée à surveiller ses poulettes et à mettre un peu d'ordre chez ses préférées.

    Jules Renard : "Chaque matin, au saut du perchoir, le coq regarde si l’autre est toujours là, ... et l’autre y est toujours. Le coq peut se vanter d’avoir battu tous ses rivaux de la terre, ... mais l’autre, c’est le rival invincible, hors d’atteinte ..." ... ça va donc durer !

    Même si la météo a contraint notre parcours, comme à chaque fois, ce furent 2 semaines pleines de découvertes et d'émotions, tant à terre ou à bord, que sur l'eau ou dans l'eau.

    Notes : Pour la pêche, quelle leçon ! Nous ferons mieux la prochaine fois (Nécessité du moulinet avec un bon frein) ... Remerciements et coup de chapeau bien bas à notre cuisinière si motivée.

  • #3

    Zou (lundi, 15 juillet 2019 06:16)

    Super ton reportage, ça donne envie d’y aller �

  • #4

    Patrick (lundi, 15 juillet 2019 11:37)

    je resterai 6 mois à caboter autours du même atoll et son lagon ?
    waoh les 23 miles à louvoyer !! la perf, trop fort